Andréa Mifsud

L’équipe Gravel Café du Cycliste :

« Très content d’être associé à Café du Cycliste. Une marque que j’affectionne depuis vraiment les tout débuts. J’avais rencontré Rémi (NB : fondateur du Café du Cycliste), au grand prix de Monaco (grand prix cycliste), j’étais en cadet, on avait sympathisé. Il m’a même donné une tenue, j’avais 13 ans. J’ai toujours été très attaché à la marque et très content de porter les couleurs Café sur les courses gravel. »

Meilleur souvenir de course :

« Tour d’Italie moins de 23 ans dans un premier temps et plus récemment Tour des Alpes Maritimes 2022 où c’était ma première année au team Nice Métropole avec les amis et la famille au bord de la route. C’était vraiment fantastique. C’était une chance de courir à domicile chez les professionnels ».

Objectifs pour la saison 2024 sur gravel avec Café :

« Se faire plaisir et ramener une victoire pour l’équipe Café du Cycliste »

Comment allier la saison route et gravel :

« Je pense que ça va faire un calendrier riche mais c’est sûr que notre métier fait que l’on sera plus souvent sur la route mais les courses gravel nous ferons un bol d’air frais puis cela complétera notre technique de la route parce que c’est sûr, c’est long, c’est technique. Pour en avoir fait quelque unes l’année dernière. Ca va bien se coupler. »

Évolution du gravel :

« Discipline en devenir. Ça fait quelques saisons que l’on voit des équipes se développer. Le fait que Café s’initie la dedans et profite de la vague, c’est vraiment positif avec en ligne de mire les championnats du monde qui se dérouleront à Nice, ça a vraiment du sens. Discipline porteuse car c’est frais, ça emmène une vraie touche de fraicheur au cyclisme mais il y a toujours ce côté décontracté que l’on retrouve dans le VTT mais c’est un bon compromis que j’aime beaucoup. »

Qu’est-ce que le gravel pour toi :

« Pour moi le gravel, ça m’inspire beaucoup de liberté, plus que la route au final. On a pas de feux, de passages piétons, de stops, du coup, on profite des pistes, des chemins et parfois c’est bon de se perdre en gravel. Chose qui nous arrive rarement sur route car on connait les routes par cœur. En Gravel c’est encore possible de se perdre et se faire surprendre et ça c’est super plaisant. »

Repas de veille de course préféré :

« Pâtes carbonara »